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ZORRO EST ARRIVÉ !



Zorro Est ArrivÉ !

The alternative view (from www.lequipe.fr)


ZORRO EST ARRIVÉ !
Quelle fin de match ! La France bat l'Angleterre dans les arrêts de jeu (2-1). Zinédine Zidane a inscrit deux buts en deux minutes. Fabien Barthez avait donné le ton en arrêtant un penalty de Beckham (73e). La France a enfin battu l'Angleterre dans une phase finale d'un grand tournoi. Les Bleus ont finalement répondu présent. L'Euro est bien lancé !!


LES REACTIONS
Jacques Santini (entraîneur de l'équipe de France) : «C'était une rencontre attendue par des milliers de spectateurs et j'espère que tout le monde a bien profité du spectacle. Il y a eu un grand match, mais il fallait être deux même si le scénario nous a été favorable à la fin. Il faut toujours y croire. Menés à la mi-temps, les Bleus ont su prendre les commandes sans se précipiter. Mais il est vrai que le penalty arrêté par Barthez nous a aidé pour ne pas perdre pied aussi bien sur le plan physique que psychologique. M. Eriksson a su mettre en place un bloc défensif très bas pour contrer nos animations offensives basées sur la vivacité entre deux ou trois joueurs qui sont notre point fort. Vers la fin, j'avais demandé à Patrick (Vieira) et Claude (Makelele) d'aller chercher plus haut le milieu anglais. Comme Silvestre avait déjà un carton jaune, j'ai préféré le faire sortir et j'ai également misé sur la qualité de centre de Sagnol. J'ai une grande confiance dans ce groupe. Dans ce match, presque jusqu'à la fin, les meilleures individualités des deux équipes ont été cadenassées par le collectif adverse.»

Sven Goran Eriksson (entraîneur de l'équipe d'Angleterre) : «Malgré la défaite on garde la tête haute. On va se remettre au travail dès demain et je suis sûr que nous serons en quarts de finale. On ne devait pas perdre ce match vu la qualité de notre jeu mais malheureusement c'est ce qu'il s'est passé. Pourtant j'ai le sentiment que l'on a fait ce qu'il fallait. Si ce match était à rejouer je ne changerais rien à la tactique. Je demanderais juste à mes joueurs de rester plus concentrés dans les trois dernières minutes.»

Zinédine Zidane (capitaine de l'équipe de France, au micro de TF1) : «Je crois que c'est surtout Fabien (Barthez) qui fait la différence (en arrêtant un penalty). Il a permis de rester à 1-0 et d'y croire à tout moment. Et puis il y a ce but surprise à la fin qui nous permet de gagner un match qui n'était pas en notre faveur. On s'est dit simplement qu'il fallait faire notre match. On savait que ça allait être difficile. La victoire, c'est le point positif de la soirée. Avant le match, on s'est dit qu'on avait une équipe pour faire quelque chose, mais c'est vrai qu'on a souffert ce soir.»
 




Beach Hut

Brighton Bhuna Boy
Jul 5, 2003
72,301
Living In a Box
Zorro can go and swing for it :angry:
 


And the match report:-

LA COURONNE A VACILLE
Par Cédric ROUQUETTE à Lisbonne

L'équipe de France championne d'Europe a arraché une victoire inoubliable contre une équipe d'Angleterre plus réaliste pendant les 90 premières minutes (2-1). Après avoir encaissé un but sur le premier tir cadré de la rencontre, les Bleus ont poussé avec l'énergie de leur ambition retrouvée, pour finalement l'emporter sur deux coups de pied arrêtés pendant le temps additionnel. Bonne nouvelle : Zidane, qui les a convertis, est redevenu Zizou.


Il y a exactement une semaine, nous avions titré «Un air de déjà-vu» après France - Ukraine (1-0), match de préparation quelconque comme l'équipe de France en avait déjà réalisé beaucoup avant ses grandes victoires de 1998 et 2000. Pour cette seule raison, cette titraille ne chapeautera pas l'exceptionnel France - Angleterre qui a été donné à voir aux 65 000 privilégiés qui se trouvaient à Lisbonne ce 12 juin 2004. Il y avait dans cette victoire (2-1), arrachée dans le temps additionnel sur deux coups de pied arrêtés de Zidane, un air de France - Italie, finale de l'Euro 2000 remportée au bout de la nuit après une égalisation du bout du pied de Wiltord (2-1 but en or). Pour les Anglais, cette défaite remue les souvenirs de la dernière victoire d'un club de là-bas en Ligue des champions, lorsque Manchester United avait battu le Bayern Munich dans des circonstances comparablement hallucinantes (2-1). Ce succès, sur laquelle il y aurait à redire sur le strict plan du jeu, récompense une équipe de France qui a porté au zénith des vertus très british de disponibilité totale et de fighting spirit.

Qu'il devait être difficile d'être sur la pelouse et d'avoir les idées en place après l'accueil réservé aux acteurs par le Stade de la Luz ! Difficile, mais à la portée de joueurs de ce niveau. A tel point qu'au bout de cinq minutes, Français et Anglais avaient chacun montré les crocs. A ce jeu, les Bleus menaient par deux débuts d'occasion à un (Vieira au-dessus, 2e ; centre fuyant de Pires, 4e ; Owen lancé dans l'espace mais repris par Gallas, 5e). Ce début de match sans calcul mais correct sur le plan défensif a aussi dissipé un malentendu : non, les Anglais, ne se contenteraient pas d'un résultat nul, donnant à ce premier acte les allures d'un match ouvert et agréable. La supériorité collective des Tricolores exerça cependant rapidement son effet, sous le poids d'un axe Zidane-Vieira à l'origine des meilleurs frissons et d'un Pires auteur d'une première demi-heure prometteuse.

Cette tendance s'accompagna cependant bien vite de deux constats. Le portier anglais David James n'eut jamais de travail - pas plus que Barthez d'ailleurs -, sauf sur une sortie aérienne qu'il négocia parfaitement. Il manquait aux Bleus une poignée de tirs cadrés (aucun), une vraie qualité de centre et une mobilité offensive qui ne s'est jamais vraiment mise en route. Face à ce tableau, les Anglais ont eu l'intelligence de ne pas chercher à faire mieux que ce qu'ils avaient dans le ventre. Ils se sont appuyés sur un Scholes bien inspiré et un Campbell imperturbable dans l'axe. Ils s'en sont remis à ce qu'il savent faire de mieux : défendre comme des morts de faim et frapper sur coups de pied arrêtés. Après le premier corner (26e) pour les coéquipiers de Beckham - d'abord fort discret puis mieux en rythme - Lizarazu commit une faute anodine, qu'il nia, sur le Spice Boy. Celui-ci n'avait besoin de rien d'autre pour déposer le ballon sur la tête de Lampard. Le joueur de Chelsea, qui marquait aussi souvent du crâne que Zidane avant le 12 juillet 1998, a pris de vitesse Silvestre, ce qui n'était pas donné à tout le monde ce soir-là (38e).



Merci Barthez

Sonnés, les Bleus donnèrent l'impression d'avoir remis de l'ordre dans leur 4-4-2 au retour des vestiaires. En cinq minutes, James toucha deux ballons chauds sur trois alertes orchestrées par Henry ou Zidane. A la 51e, M. Merk choisit de ne pas siffler penalty sur une main pourtant évidente, quoiqu'involontaire, de Gary Neville. Ce court séjour dans le camp britannique ne changea cependant pas fondamentalement les données du problème. Ultra-dominateurs et de ce fait, souvent sur la corde raide après les rares ballons perdus, les Bleus n'ont jamais laissé penser qu'ils pouvaient avoir l'idée définitive. Pas assez rapides dans leurs prises de décision ou trop prudents à l'approche de la zone de vérité, ils virent le pire de près lorsque Silvestre faucha de façon indiscutable Rooney à l'entrée de la surface, sur un contre où l'infériorité numérique ne présageait rien de bon. Barthez réussit alors «le» geste du match en stoppant un penalty plutôt bien frappé par Beckham (72e).

L'Angleterre continua cependant à faire peser ses menaces avec la rentrée du frais Darius Vassell. Alors que Jacques Santini décidait de muscler son côté droit en faisant rentrer Sagnol et Wiltord, un fighting spirit exemplaire ne suffisait pas pour coller davantage le ballon au sol. La domination anglaise dans le secteur offensif ne s'est jamais démentie et semblait condamner les Bleus à leur première défaite depuis février 2003. La pire. Alors, le quatrième arbitre indiqua trois minutes de temps additionnel. Zidane, plutôt en sommeil en fin de partie, décida de continuer à écrire sa légende. D'un maître coup franc, puis d'un penalty aussi parfait que celui du France - Portugal de 2000 (2-1 a.p.), il envoya la France à la première place du groupe B, avec trois points très sucrés et trois jours de bonheur à venir en guise de préparation de France - Croatie. Sur le coup, ça ressemblait au paradis.
 
Last edited:


in a couple of words how does it translate?

mmmmmmmmmmmmmm


on about 30 words.

england great tactics, pannic, rooney, great run, beckham over rated, misses pen.

swen makes poor decision and zidane shows real world class.

lc
 


London Calling said:
in a couple of words how does it translate?
France were lucky. England dominated. Barthez is the hero. Will remind the English of Manchester United's victory over Bayern Munich. The important game is France -v- Croatia. Zidane is the new Virgo.
 






Lady Bracknell

Handbag at Dawn
Jul 5, 2003
4,514
The Metropolis
The translator on Google is wonderfully and irrationally shyte in places. It translates the headline as "Zorro Arrives East". But using it to translate the rest of the page gives an OK result - if you don't speak French, that is!
:eek:
 
Last edited:


seagull over spain

New member
Mar 25, 2004
155
torrevieja spain
Translation as requested:
THE CROWN TO VACILLATES
By Cédric ROUQUETTE in Lisboa

The team of France champion of Europe pulled an unforgettable victory against a more realistic England team during the 90 first minutes (2-1). After having cashed a goal on the first shooting centered of the meeting, the Bruises pushed with the energy of their ambition recovered, to prevail finally over two kicks stopped during the additional time. Good news: Zidane, that converted them, became again Zizou.


One week ago, we had titled "An air of déjà-vu" after France - Ukraine (1-0), any preparation match as the team of France had already achieved many of them before his/her/its big victories of 1998 and 2000. For this only reason, this titraille won't oversee the exceptional France - England that has been given to see at 65 000 privileged that was at Lisboa this June 12, 2004. There was in this victory (2-1), pulled in the additional time on two kicks stopped of Zidane, an air of France - Italy, final of the euro 2000 taken back at the end of the night after an equating of the tip of the foot of Wiltord (2-1 drank gold). For the English, this defeat moves the memories of the last victory of a club of in League over there of the champions, when Manchester United had beaten the Bayern Munich comparably in circumstances hallucinating (2-1). This success, on which there would be to retell on the strict plane of the game, reward a team of France who carried to the zenith of the virtues a lot of british of total availability and fighting spirit.

That it had to be difficult to be on the lawn and to have the ideas in place after the welcome reserved to the actors by the Stage of the Luz! Difficult, but accessible to players of this level. To such point that to the tip of five minutes, French and English had each shown the fangs. To this game, the Bruises led by two second-hand beginnings to a (Vieira above, 2nd; center escaping Worse, 4th,; Owen thrown in the space but took by Gallas, 5th). This beginning of match without calculation but correct on the defensive plan dissipated a misunderstanding also: no, the English, would not be content with a hopeless result, giving to this first act the paces of one open and pleasant match. The collective superiority of the Tricolor exercised his/her/its effect, under the weight of a Zidane-Vieira axis at the origin of the best thrills and a Worse author of a first promising half-hour, however quickly.

This tendency came however well quickly with two reports. The English porter David James never had any work - not more that Barthez besides -, except on an aerial exit that he perfectly negotiated. He/it missed to the Bruises a handful of shootings centered (none), a true quality of center and an offensive mobility that didn't ever get indeed under way. Facing this picture, the English had intelligence not to try to make better than what they had in the stomach. They leaned on a well inspired Scholes and an imperturbable Campbell in the axis. They relied on what he/it knows how to make of better: to defend as deaths of hunger and to hit on kicks decrees. After the first corner (26th) for the team mates of Beckham - first very discreet then better in rhythm - Lizarazu committed an insignificant mistake, that he denied, on the Spice Boy. This one didn't need anything else to deposit the ball on the head of Lampard. The player of Chelsea, who as often marked the skull that Zidane before July 12, 1998, took Silvestre speed, what was not given to everybody that evening (38th).



Thank you Barthez

Sounded, the Bruises gave the impression to have put back the order in their 4-4-2 to the return of the cloakrooms. In five minutes, James touched two hot balls on three alerts orchestrated by Henry or Zidane. At 51st, Mr. Merk chooses not to hiss penalty yet on a hand obvious, although involuntary, of Gary Neville. This short stay in the British camp didn't change the data of the problem however fundamentally. Die-hard-domineering and of this fact, often on the stiff rope after the rare lost balls, the Bruises didn't let think ever that they could have the definitive idea. Not fast enough in their decision makings or too prudent approaching the zone of truth, they transfer the worse closely when Silvestre reaped way indisputable Rooney to the entry of the surface, on one against where the numeric inferiority didn't foretell anything good. Barthez succeeds "the" gesture of the match then as rather stopping well a penalty hit by Beckham (72nd).

England continued however to make weigh his/her/its threats with the return of the cool Darius Vassell. Whereas Jacques Santini decided muscler his/her/its right side while making bring Sagnol and Wiltord in, a fighting exemplary spirit was not sufficient to glue the ball more to soil. The English domination in the offensive sector never denied itself and seemed to condemn the Bruises to their first undone since February 2003. The worse. Then, the fourth referee indicated three minutes of additional time. Zidane, rather in sleep at the end of part, decided to continue to write his/her/its legend. Of a main straightforward stroke, then of a penalty as perfect as the one of France - Portugal of 2000 (2-1 a.p.), he/it sent France to the first place of the B group, with three very sugary points and three days of happiness to come in manner of preparation of France - Croatia. Instantaneously, that looked like the paradise.
 






Gwylan

Well-known member
Jul 5, 2003
31,818
Uffern
... des vertus très british de disponibilité totale et de fighting spirit...

Marvellous franglais. :clap2:

You can always rely on Google for some wonderful translations.... the 'Bruises' indeed.:)
 


Gwylan

Well-known member
Jul 5, 2003
31,818
Uffern
And a German view

"Giganten-Fußball!

Auch Gerrard konnte ihn nicht halten: Matchwinner Zinedine Zidane

War das ein GIGANTEN-FUSSBALL!

2:1, Mega-Star Zinedine Zidane rettet Titelverteidiger Frankreich. Nach elf Siegen in Serie standen Zidane & Co. ausgerechnet im ersten EM-Spiel gegen England vor der Pleite.

Zidane, der eiskalte Held. In 100 Sekunden stürzt er England ins Tal der Tränen. In der 90. Minute versenkt „Zizou“ seinen Zauberfreistoß zum 1:1. In der Nachspielzeit vollstreckt Frankreichs Kapitän einen Strafstoß eiskalt zum 2:1.

Gigantisch, galaktisch, der Wahnsinn im Gänsehaut-Gipfel von Lissabon.

65000 Fans (allein 40000 Engländer) im Estadio da Luz. In ganz Europa sehen rund 200 Millionen den Mega-Knaller live am TV.

Überstrahlt wird alles vom Giganten-Duell David Beckham (29) gegen Zinedine Zidane (31). Der Kampf Popstar gegen Zauberer, der Schönste gegen den Besten. Real Madrid zahlte nur für diese beiden Fußball-Götter über 90 Millionen Euro.

Ihre erste Begegnung gibt’s im Kabinengang. Nach Wangen-Küsschen und Shakehands am Mittelkreis ist mit Anpfiff alles vergessen. Wie sagte doch Zidane: „Ich werde rausgehen und David wehtun müssen.“

Es wird die Demütigung des David Beckham!

Doch erst jubelt der Spice-Boy. Die 38. Minute: „Becks“ schnippelt einen Freistoß von rechts in den Strafraum, Lampard knackt per Kopf Frankreichs Abwehr-Beton (elf Spiele ohne Gegentor), der Ball rauscht rechts rein – 1:0! Englands Führung mit der 1. Torchance.

„Ein wunderbares Fußballspiel“, schwärmt auch Franz Beckenbauer im ZDF. „Doch bis zum Tor habe ich Beckham nicht gesehen.“

Die Franzosen jetzt wütend mit Dauerdruck. Pech: Schiri Markus Merk übersieht ein Handspiel von Neville im Strafraum (52.). Der einzige Fehler des Deutschen.

Doch der Depp des Spiels wird David Beckham. Ausgerechnet vor den Augen seiner Frau Victoria vergibt er die Chance sich unsterblich zu schießen.

Die 73. Minute: Beckham scheitert per Elfmeter (Foul an Rooney) halbhoch an Barthez. Statt des 2:0-K.o. ist es der Anfang von Englands Untergang – und Beckhams Ende als Liebling der Fans.

Zidane schlägt eiskalt zu. 90. Minute: Freistoß aus 18 Metern ins linke Eck – 1:1! Sensationell!

100 Sekunden später: Torwart James foult Trezeguet. Elfer. Zidane halbhoch links – 2:1! Unglaublich!


The French report referred to the Neville 'handball' as well. That would have been a harsh penalty to have given - scarcely fair to describe it as the only mistake by the German ref (but a nice, nationalistic touch).

That's from Bild by the way, which also has a poll on who's going to win and 2% think England (on par with Latvia and Switzerland, but below Greece). Looks like it will them a long time to get over that 5-1 defeat
 




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